La 10e édition du festival Somarôho, à Nosy-Be du 2 au 13 août, veut faire de l’île aux Parfums la capitale culturelle de l’océan Indien.
«Nous avons exporté le festival hors des frontières malgaches depuis voilà quelques années dans le souci de promouvoir une meilleure image du pays. A partir de cette année, nous souhaitons associer une édition à un pays. Pour ce galop d’essai, tous les honneurs reviennent à l’océan Indien et ses chapelets d’îles», confie Wawa, fondateur du festival, lors d’une rencontre avec la presse, hier à Andraharo.
Un programme copieux
La première semaine du festival propose d’applaudir des stars internationales telles que Says’z (Comores), Zily (Mayotte), Alain Ramanisum (Maurice), Goulam (Comores), accompagnées de noms bien connus de la scène nationale comme Nashan, Oladad, D-Lain, Basta Lion, Zandry Ahmed, Parish, Tence Mena, Ayo Naej, Big MJ, Rijade, Ceasar, Rootsman, Vaiavy Chila, Nela Brown, Mamy Gotso, Madmax et Wendy Cathalina. S’ensuivront les activités sportives durant la deuxième semaine.
«Depuis la toute première édition de Somarôho, nous étions aux côtés de Wawa, ambassadeur de Telma et de la musique malgache. Cette année, nous sommes heureux de pouvoir compter sur la présence d’autres porte-étendards de notre marque sur scène, à l’image de Denise, Lico Kininike ou encore Dadi Love», ajoute Riantsoa Rabefitia, responsable relations publiques et presse au sein de l’opérateur de télécommunication.
Pour la petite histoire, l’événement trouve son origine dans un spectacle-anniversaire du groupe Wawa. Au fil des années, l’organisation a pris de l’ampleur pour devenir un festival dont le nom a été attribué par la population de Nosy-Be. Pour rendre la pareille, une grande tombola sur SMS, est organisée en parallèle avec le festival pour tenter de gagner une voiture et bien d’autres lots.
Joachin Michaël
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