Basket 3×3 – Coupe d’Afrique: les Ankoay, champions d’Afrique, accueillis en héros

Les Ankoay hommes et dames, champions et vice-championnes d’Afrique en basket 3X3 ont été accueillis en héros, hier, à leur retour d’Egypte. Ministre, membres de la Fédération malagasy de basket, supporteurs, amis et membres de la famille les ont acclamés à l’Aéroport international d’Ivato et au Palais des sports Mahamasina.

Les Ankoay dames et hommes affichaient un large sourire, hier au moment de rentrer au pays. Elly, Arnold, Fiary et Livio, champions d’Afrique de basket 3×3 et qualifiés pour la Coupe du monde d’Autriche en juin 2023, les filles, vice-championnes et qualifiées pour le tournoi qualificatif mondial, et leurs coachs ont été accueillis de manière chaleureuse par le ministre de la Jeunesse et des Sports, Tino­ka Roberto, le président de la fédération malagasy de basket-ball, Jean Michel Ramaro­son et leur fans, hier à l’aéroport d’Ivato. Après une parade dans les rues de la capitale, une fête leur a été, par la suite organisée au Palais des sports Mahamasina.
Une occasion pour les autorités locales de remercier et de récompenser nos porte-fanions.

Exploit historique
Un autre exploit historique en fait pour les protégés de Jean de Dieu Ranarivelo qui avaient déjà ramené la médaille d’or aux Jeux africains en 2019 à Rabat.
Ces performances sont tout simplement les fruits de l’effort mené par Jean Michel Ramaroson sur sa politique de relève de longue haleine.
Ce n’est pas tout, car les Ankoay U18 garçons ont également marqué l’histoire en se qualifiant pour la première fois à la Coupe du Monde de 2023.
Les Ankoy filles méritent également l’éloge qui, pour leur baptême du feu à la compétition, ont pu se hisser en finale.
Le numéro un du basketball malagasy est le premier à s’en réjouir. « Les victoires sont tout simplement magnifiques. Elles sont là grâce à une collaboration de toutes les parties prenantes. Je tiens à remercier tout le monde, notamment le président de la République Andry Rajoelina, pour les précieux soutiens, sans oublier le public », se réjouit Jean Michel Ramaro­son .

Soafara Pharlin

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