Le Maroc ne possède pas seulement des expériences en matière d’organisation des événements footballistiques, mais dispose aussi des stades conformes aux exigences de la Confédération africaine de football (Caf), pour recevoir des matchs internationaux. C’est pourquoi la Fifa l’a choisi pour abriter la Coupe du monde des clubs champions qui bat son plein actuellement. A ce sujet, le Maroc a acquis une solide réputation.
Pour les observateurs, le Maroc est bien parti pour remporter l’organisation de la Can 2025. Il a mis en avant dans son dossier de candidature l’existence des grands stades de renom qui n’ont rien à envier aux autres. A citer le Grand stade Agadir, impressionnant par son architecture avec une capacité d’accueil de 45 480 places. Inauguré en 2013, il est situé à 5 km du centre-ville et a déjà accueilli trois éditions trois éditions coupes du monde des clubs, celles de 2013, 2014 et de 2022.
Egalement, sur la liste des stades phares marocains, Tanger (60.000 places), Fès (35.000 places), Rabat (45.000 places), Casablanca 45.000 places) et Marrakech (45.000 places) qui ont abrité le championnat d’Afrique des nations (Chan) 2018. Maroc est même devenu incontournable pour les grands clubs européens qui y viennent disputer des matchs officiels.
Gestion efficace
Et gérer ces infrastructures requiert une gestion rigoureuse et hors pair que le Maroc a su mettre en place au fil des années, grâce à la société nationale de réalisation et de gestion des stades (Sonarges). C’est le cas aux stades d’Agadir, de Tanger et de Marrakech.
« Inscrite dans son organisation et dans ses modes de fonctionnement, la gouvernance au sein de la Sonarges comprend les procédures, les règles et les structures qui sont mises en place pour assurer la transparence de son fonctionnement. S’appuyant sur un processus décisionnel efficace et un pilotage avec l’ensemble de ses parties prenantes », a-t-on communiqué.
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