Dix ans après la sortie de son long-métrage intitulé « Misy Tody », Gnoz Event revient avec une nouvelle série dénommée « Vona » celle-ci est diffusée, depuis cette semaine, sur la chaîne Novegasy de Canal Plus Madagascar, du lundi au vendredi, à partir de 16h45 et 20h10.
Cette fois, Andry Ramanankasina, directeur de production, a choisi un scénario qui touche le monde des paysans désireux d’améliorer leur vie. « Ce n’était pas facile, mais nous sommes contents du résultat très satisfaisant en collaborant avec de grands artistes de renom», s’est félicité Andry Ramankasina.
« Vona » est un feuilleton dramatique composé de 40 épisodes, d’une durée de 45 minutes chacun. Gnoz Events a fait appel à Henri Randrianieranana pour former les acteurs. « Nous n’avons pris que de nouvelles têtes. Nous les avons formées et chaque personnage interprète son premier rôle au cinéma, un atout majeur dans leur jeu », a-t-il ajouté.
Ndrina Andrianasolo, pour sa part, a assuré la direction photographique. Et, Nali Rabarison s’occupait de tous les sons. Bodo et Daddy Rasamimanana, de leur côté, ont créé la musique, avec un jeune réalisateur Ny Aina Vahatra Andrianirina.
Résumé de la série
« Vona » qui signifie nœud, parle de l’histoire de Tovo, un jeune paysan doué, espiègle, devenu adulte responsable avant l’heure. « Il ne veut pas être comme son père, lâche, fuyant tout le temps ses responsabilités. Les différentes rencontres de Tovo avec de hauts fonctionnaires corrompus, l’ont aidé à grandir et à découvrir les aléas de la vie et de la grande ville. La rencontre du jeune homme avec Tsiky, issue d’une riche famille de son village natal, n’a rien arrangé non plus, car le père de cette fille, un Juge malin, va tout faire pour que cette relation ne dure. Par ailleurs, un certain Félix, a assassiné accidentellement le jeune frère de Tovo. Une situation qui va mettre tout le monde dans le village, mal à l’aise ».
Toujours prêt à rehausser le niveau du cinéma malagasy, Gnoz Event compte déjà produire d’autres séries et même des longs métrages. Dans chacune de ses productions, il prend le temps de soigner ses films pour démontrer aussi qu’actuellement, le niveau du 7e art à Madagascar commence à évoluer. « Vona » en est la preuve et est
Holy Danielle