Aucun incident majeur lors des deux premiers jours de l’épreuve d’Education physique et sportive (EPS) du Brevet d’études du premier cycle (BEPC). C’est le cas au stade d’Alarobia, l’un des six centres d’examen de la Circonscription scolaire (Cisco) d’Antananarivo Renivohitra.
« On a pris des mesures pour vérifier l’aptitude des candidats à passer les épreuves. C’est pour prévenir la présence de candidats souffrant d’une maladie ou candidates enceintes », souligne le chef de centre d’examen d’Alarobia, Falimanana Jacobson Randrianarivo, professeur d’EPS au Lycée Nanisana.
Menées en collaboration avec l’Onapascoma, cette mesure consiste à mener des contre-visites pour tous les candidats une semaine avant les épreuves. « Elle est indispensable sachant que les visites médicales se tiennent trois mois avant les épreuves. Des changements peuvent survenir entre-temps », précise notre source. Les enseignants d’EPS proposent au ministère de l’Enseignement supérieur et de la recherche scientifique (Mesupres) l’application de cette mesure pour les épreuves d’EPS du Baccalauréat.
Notons que 85,33% des candidats au BEPC, 21.334 sur les 25.001 inscrits, ont choisi d’effectuer l’EPS, qui a débuté lundi dans la Cisco Tana. Le stade d’Alarobia, un des six centres d’examen de cette Cisco, compte 4.086 candidats. Ces derniers proviennent de trois sous-centres du 5e arrondissement, à savoir le Lycée Nanisana, le CEG Nanisana et le CEG Avaradoha.
Seul une dizaine de candidats ont été absents pendant les deux premiers jours d’examen. Les épreuves se poursuivent jusqu’à vendredi pour le centre d’examen du stade Alarobia. Celles de la Cisco Tanà jusqu’au 26 mai.
Fahranarison