A quelques jours du début de la campagne électorale, le ministère des Transports et l’Agence des transports terrestres (ATT), apportent quelques précisions concernant l’organisation de la circulation et le déploiement des moyens de transports, pour chaque candidat et appellent au sens de responsabilité de chaque usager de la route, en vue d’assurer la sécurité routière.
La fréquence de transports sera en hausse, à partir du 10 octobre, date de début de la campagne électorale. Dans un avis publié officiellement hier, le ministère de tutelle lance un appel au respect des règles en vigueur.
Cinq points à respecter
Le département a mis l’accent sur cinq points majeurs. D’abord, les véhicules utilisés dans le cadre de la campagne électorale, devraient porter un signe distinctif qui les différencie des autres consacrés exclusivement au transport des marchandises comme les fourgons et les camions.
Le ministère des Transports insiste également sur l’obligation des opérateurs de transport, de respecter les règles régissant leurs activités. Ils doivent être en possession d’une licence d’exploitation et d’une carte fiscale, mais également une carte grise, une assurance et une visite technique à jour.
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Les taxis-brousse qui prévoient de travailler en dehors de leurs zones habituelles, sont tenus d’effectuer une demande d’autorisation spéciale auprès de l’ATT. Les véhicules particuliers et les deux-roues ne sont pas non plus épargnés. Le ministère tient à rappeler que le transport de personnes en surnombre contrairement à ce qui est indiqué dans la carte grise, reste interdit. Il en est de même pour le respect du poids des bagages autorisé pour chaque véhicule.
Rakoto