Aujourd’hui est un grand jour pour Madagascar en général et Andry Rajoelina en particulier. Après la victoire à sens unique dans les urnes, place maintenant à une cérémonie d’investiture aux allures de consécration historique, à l’égard de Andry Rajoelina, marquant solennellement le début d’un second mandat de cinq ans, à la tête du pays.
Il n’y aucun ombre au tableau, à part un appel au boycott des opposants qui ont encore beaucoup du mal à accepter la réalité. Ils s’enferment dans une opposition systématique, toujours sur l’offensive, malgré la débâcle totale qui doit servir de leçon, au lieu de ne pas se voiler la face et croire au père Noël. Adieu veau, vache, cochon, couvée, les carottes sont cuites pour le collectif des candidats. Ils peuvent toujours causer et s’indigner, une autre manière d’exprimer aussi leur frustration et déception politique, tout en prenant conscience qu’il n’y a plus rien à faire.
A l’échelle mondiale, cette réélection de Andry Rajoelina ne souffre d’aucune contestation, au même titre que le processus électoral, comme en témoigne la présence des différentes délégations étrangères, pour assister à cette cérémonie d’investiture, à graver dans les annales. Pour dire que Andry Rajoelina élu démocratiquement, jouit d’une grande reconnaissance internationale. C’est un atout majeur pour pouvoir noueur des partenariats de développement dans plusieurs domaines.
En un mot, Marc Ravalomanana et consorts ne peuvent que contempler leur défaite amère. Cette cérémonie d’investiture marque ainsi la fin du processus électoral semé d’embûches. Une grande victoire aussi pour le gouvernement collégial et surtout pour la Ceni qui ont bouclé la boucle, conformément à la Constitution. Une nouvelle ère s’ouvre dans l’histoire de Madagascar.
JR.
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