Art visuel : Amir.J signe deux expositions en France

Les aquarelles d’Amir Juvara Andrianalitiana, plus connu sous son nom de pinceau, Amir.J, égayent la galerie « Beauté du matin calme » et « Diasporâs » à Paris (France), à l’occasion de deux expositions à découvrir jusqu’au 18 mars.

Pour commencer cette virée artistique dans
la ville des Lumières, Amir.J a pris part à « Un voyage au-delà des frontières » à la galerie internationale Beauté du matin calme, dans le 15e arrondissement de Paris, le 6 mars. C’est une installation collective qu’il partage les cimaises avec le peintre d’origine galloise David R. Jones et Silvio Icka, venu de Chicago.
Puis depuis le début de la semaine, sa deuxième exposition baptisée « Kouler nu Zil » prend place à l’espace culturel « Diasporâs », toujours dans la capitale française, Organisé à l’initiative de Siloy, Association des mauriciens et amoureux de l’Ile Maurice en France, le vernissage s’est déroulé le
12 mars, durant la fête nationale de l’île Maurice.
« En deux chapitres, cette exposition propose un regard croisé entre Madagascar, mon pays natal et Maurice, mon pays de cœur, le tout à travers des scènes de vie quotidienne et des paysages urbains qui célèbrent la richesse culturelle et la ressource naturelle de nos deux îles. Pendant mes séjours à Maurice, j’ai eu le loisir d’immortaliser en peinture les sujets qui m’ont le plus marqué sur cette île resplendissante et réputée aussi d’une vie culturelle remarquablement animée. Le même pays a également abrité ma toute première exposition en 2019. Cette installation est pour moi une manière de rendre la pareille », a-t-il expliqué.
« Kouler nu Zil » est également ponctué d’une rencontre littéraire, qui verra ce soir la participation de Corinne Fleury, Estelle Coppolani, Nassuf Djailani et Johary Ravaloson. Avant le décrochage, Hanitr’Ony et le groupe Sarajavona, comptent bien embarquer le public français et le Diaspora, ce dimanche après-midi, dans un voyage artistique multidisciplinaire mêlant gastronomie, musique, peinture et littérature de l’Indianocéanie.

Joachin Michaël

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