Le Fonds mondial ou « Global Fund » mobilise des subventions, en particulier dans la lutte contre le sida, le paludisme et la tuberculose. Son 51e Conseil d’administration s’est déroulé en avril à Genève. Des rencontres bilatérales fructueuses ont eu lieu avec de hauts représentants des partenaires techniques et financiers, de grands donateurs ainsi que des organisations et institutions. Elles témoignent de l’importance du partenariat et de la collaboration dont « l’objectif est de bénéficier d’une gouvernance éclairante », a fait savoir le général Edelin Calixte Randriamiandrisoa, membre du Comité de gouvernance du Fonds mondial.
Ce conseil a abordé plusieurs thèmes pour le bon fonctionnement et l’efficacité d’utilisation des fonds. Entre autres, la gouvernance afin d’apporter des améliorations possibles pour renforcer la transparence et la responsabilité, le suivi et évaluation pour évaluer les impacts des programmes soutenus, les indicateurs de performance, la méthodologie d’allocation des fonds, le rôle des fonds catalytiques, le lien entre le changement climatique et la santé, les cas des pays à contexte difficile ainsi que le droit de l’homme et la durabilité de l’engagement.
« Ce 51e Conseil d’Administration a ainsi couvert un large éventail de sujets critiques, visant à améliorer les droits humains, la gouvernance, la transparence, l’efficacité et l’impact des programmes soutenus par le Fonds mondial », a souligné le général Edelin Calixte Randriamiandrisoa.
Sera R.