Le Groupe filatex confirme encore sa collaboration avec le service Urologie du Centre hospitalier universitaire Joseph Ravoahangy Andrianavalona (HJRA) à Ampefiloha en faisant un don de 12 chaises capitonnées en cuir pour les gardes-malades et deux tabourets professionnels destinés aux chirurgiens. Ces dons ont été remis officiellement, hier, par Tanteraka Rakotoarisoa, directeur RSE du Groupe filatex, et reçus par le docteur Clarat Razafitahinjanahary, chef de service du bloc opératoire du service Urologie de l’HJRA. Le Groupe a également remplacé les trois portes du bloc opératoire assigné au service urologie pour que le bloc soit hermétique.
«Une fois de plus, le Groupe filatex a réitéré son engagement pour l’accès à des soins de qualité aux Malgaches sous la forme d’une aide. Cela se ressent d’autant plus avec son programme d’appui à la réparation de la fistule obstétricale. Sachant que le séjour d’un patient à l’hôpital peut durer trois semaines, le Groupe a décidé d’offrir ces chaises capitonnées afin de donner un peu de confort aux gardes-malades. Il en est de même pour les tabourets, ils permettront aux chirurgiens d’assurer une position de travail confortable pendant les interventions», a expliqué Tanteraka Rakotoarisoa, durant la remise de ces dons.
Tout en remerciant le Groupe, le docteur Clarat Razafitahinjanahary a fait part des progrès réalisés par cette coopération et a souhaité sa continuation pour l’avenir.
Il est à rappeler que, toujours dans le cadre de cette collaboration, Groupe filatex a pris en charge les repas de 24 patientes durant leurs 21 jours d’hospitalisation, ainsi que de leurs 24 gardes-malades durant le premier trimestre de l’année 2024.
Selon un communiqué relatif à l’événement, «La fistule obstétricale est l’une des lésions les plus graves et les plus dangereuses susceptibles de survenir lors d’un accouchement. A Madagascar, près de 2 millions de femmes dans des milieux à faibles ressources ont une fistule obstétricale, et leur nombre augmente de façon significative depuis 2020. Cette perforation, située entre le vagin et la vessie, est due à un travail prolongé, mais également au manque de prise en main de qualité.»
Mparany
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