Sous l’impulsion de la Première Dame, Mialy Rajoelina, le programme Hope a insufflé un vent de renouveau dans l’autonomisation des femmes à Madagascar. Lors d’une cérémonie de remise de certificats, hier à l’auditorium Havoria Anosy, 300 participantes du programme ont été outillées pour s’épanouir pleinement et contribuer au développement du pays. Le soutien indéfectible de la Première Dame à ce projet de formation a été salué par l’ensemble des participantes.
Le programme Hope ou espoir, initié par l’agence Henka Suru Madagascar, offre aux jeunes filles et femmes Malgaches un tremplin vers
l’émancipation. Grâce à un accompagnement sur mesure, ces dernières développent des compétences clés pour leur avenir professionnel et personnel. Preuve, s’il en est, que l’éducation et l’accompagnement sont des clés essentielles pour bâtir un avenir meilleur pour tous, eu égard notamment à ce que « Chaque femme qui en fait partie, contribue activement au développement social et économique de notre pays ».
Plus qu’un simple programme de formation, Hope est un véritable vecteur de cohésion sociale. En ciblant spécifiquement les membres d’associations des femmes des Forces de l’ordre (Fivapova, Fivami et Fivaza), ainsi que les victimes de violences basées sur le genre, ce projet novateur offre à ces femmes
les outils nécessaires pour s’épanouir personnellement et professionnellement.
Au-delà des compétences techniques, Hope leur permet de développer leur leadership et de renforcer leur résilience, faisant d’elles des actrices clés du changement social. « Ce coaching vous a armées pour reprendre le contrôle de votre vie, vous reconstruire, et devenir des femmes autonomes et inspirantes. Vous avez appris à renforcer votre leadership et à devenir des modèles pour vos communautés », a déclaré Mialy Rajoelina.
Et avec le soutien continu de l’association Fitia de la Première Dame, des nombreux partenaires ainsi que l’implication active des participantes, le programme Hope contribue à l’émancipation économique et sociale des participantes, tout en favorisant le développement durable de Madagascar.
Nancy M.