Le Conseil supérieur de la sagistrature (CSM) a débuté hier à Tsaralalàna, sa deuxième session, en présence du nouveau ministre de la Justice, Benjamin Rakotomandimby.
Plusieurs dossiers seront à l’ordre du jour. Et si d’habitude les sanctions prises en Conseil de discipline (Codis), à l’encontre des membres, sont au cœur du débat, cette fois, elles ne seront pas abordées. Comme l’a déjà indiqué le ministre lundi lors de la cérémonie de levée de drapeau à Anosy, la session se penchera particulièrement sur les organisations des magistrats et de la Justice en général mais «n’ayant pas pour but de sanctionner».
Parmi les sujets à l’ordre du jour, les formations des magistrats, les affectations, les dossiers du Codis, mais également les nominations aux postes vacants, notamment celui du Procureur général de la Cour suprême (PGCS) occupé auparavant par l’actuel ministre de la Justice lui-même et du nouveau Premier président de la Cour suprême (PPCS), après le départ à la retraite de Robertson Rakotonavalona Ranary.
T.N