Eco brèves

La Jirama invite ses usagers à mettre à jour leurs coordonnées personnelles, incluant leur adresse e-mail et numéro de téléphone, avant le 10 janvier 2025. Cette démarche s’inscrit dans le cadre d’une révision de sa base de données, indique la société dans une publication en fin de semaine. Cette mise à jour devrait permettre à la Jirama d’envoyer des factures et d’autres informations importantes directement par SMS ou par e-mail, offrant ainsi un service plus rapide et efficace. Les abonnés sont priés de préciser leur référence client lors de l’envoi des informations. Plusieurs moyens sont mis à la disposition des clients pour effectuer cette opération : par e-mail à l’adresse “service-client@jirama.mg”, par message privé sur la page officielle « Jirama Ofi­sialy », ou encore en se rendant directement dans une agence Jirama.

Madagascar se prépare à accueillir le “2e Forum africain sur l’économie bleue” prévu du 17 au 19 avril 2025. Ce deu­xième forum tenu après celui de Lomé réunira 500 participants, dont 300 venant d’autres pays africains. Une réunion préparatoire au forum s’est tenue à Toliara en fin de semaine, dirigée par le ministre de la Pêche et de l’économie bleue, Pau­bert Mahatante. Organisée par le « Clus­ter Économie bleue », la réunion visait à mobiliser les acteurs locaux et internationaux. Des intervenants étrangers ont participé en ligne pour garantir une coordination optimale.

Les inspecteurs du commerce du ministère de l’Industrialisation et du commerce (MIC) multiplient les inspections au niveau national. Le MIC rapporte que les inspecteurs sont répartis sur différents marchés, non seulement à Antananarivo mais partout dans l’île, en cette période de fêtes de fin d’année. Epiceries, boucheries et autres passent par cette inspection. « C’est le travail de ces inspecteurs d’examiner de près les marchandises vendues afin qu’elles soient de bonne qualité. Cela inclut la vérification des articles périmés ou contrefaits. Des mesures seront prises immédiatement si les superviseurs viennent à détecter des anomalies », a fait savoir le Directeur de la protection des consommateurs (DPC) au MIC, Dina Rakotonirina. Il a ajouté qu’il y a aussi l’observation du prix des marchandises afin qu’aucun vendeur ne soit tenté de passer à l’augmentation injustement.

Partager sur: