La saison 2025 sera encore chargée pour l’athlétisme avec pas moins de trois compétitions majeures, dont le Mondial de Tokyo en septembre. Les jeunes seront également à l’honneur avec les Championnats d’Afrique U18 et U20 en Algérie et les Jeux de la CJSOI, en juillet aux Seychelles.
L’athlétisme malgache s’apprête encore à vivre des compétitions internationales pour la saison 2025.Trois défis de taille pour l’instance athlétique avec le Championnat du monde senior, programmé du 13 au 21 septembre à Tokyo. Ce sera aussi la saison des jeunes avec la tenue des championnats d’Afrique cadets (U18) et juniors (U20), programmés en Algérie, et des Jeux de la Commission de la Jeunesse et des sports de l’océan Indien (CJSOI), prévus aux Seychelles en juillet.
Trois rendez-vous avec un calendrier chargé entre les compétitions locales et les échanges internationaux. «Les athlètes malgaches devront honorer ces échéances internationales afin de se frotter aux athlètes des autres nations. Mais cela dépend du budget de la Fédération et du soutien du ministère de la Jeunesse et des sports», a déclaré Hery Rambeloson, directeur technique national.
Le président de la Fédération malgache d’athlétisme (FMA), Dominique Raherison, et son équipe démarrent dès le début de la saison la préparation de ces compétitions internationales. Ils prévoient de lancer la saison au mois de mars avec le championnat de Madagascar de cross-country à Ihosy.
Viennent ensuite le sommet national de trail, organisé avec l’Association de l’Ultra Trail des hauts plateaux (Utop), et la deuxième édition du semi-marathon de Masay au mois de mai.
Marathon international de Tananarive
Les sommets nationaux des jeunes et seniors sur piste, pour détecter les membres de l’équipe nationale en vue des Jeux de la CJSOI, se dérouleront au mois de juin.
Après trois années d’absence, la Fédération prévoit également d’organiser le marathon international de Tananarive (MIT) en guise de clôture de la saison. C’est pour dire que le programme sera chargé pour les athlètes, sans oublier les différentes formations.
Soafara Pharlin
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