Eliminatoires du Mondial 2026: les Barea prêts à en découdre avec la Centrafrique

Demain, le stade Larbi Zaouli au Maroc va prendre feu pour la 5e journée des éliminatoires de la Coupe du Monde 2026. Les Barea de Madagascar entrent dans l’arène face à la Centrafrique dans un duel qui sent la poudre. Les enjeux sont immenses.

Un baptême à haut voltage. C’est le grand jour pour Corentin Martins, le nouveau patron des Barea de Madagascar. Premier match, première montée d’adrénaline. Le sélectionneur débarque avec la mission de remettre son équipe sur orbite. Face à une Centrafrique qui ne recule devant rien, il va falloir sortir les griffes, aligner un onze percutant et jouer comme des lions. Pas de droit à l’erreur pour ce coup d’envoi. Martins doit frapper fort dès le premier sifflet.
Côté joueurs, c’est du lourd. Hormis Démeleon, bloqué par son club, tout le monde a répondu présent. Hier, 11 guerriers ont rejoint le groupe pour former un commando au complet : Raveloson Rayan, Ilaima­haritra Marco, Rakotohari­malala Njiva et consorts sont dans les starting-blocks. Avec Loic Lapoussin et Abdallah Hakim en embuscade, prêts à dynamiter la défense adverse, et Dupire Geordan ou Sonny Laiton pour verrouiller les cages, les Barea ont de quoi faire trembler la Centrafrique. Ça va cogner.

Une arme secrète

Attention, ça chauffe en coulisse. Pour la première fois, les Barea s’offrent un joker de luxe : Guillier Olivier, préparateur mental et physique. Un coach qui va booster les têtes et les jambes, transformant les joueurs en machines de guerre. Finis les temps morts, place à l’intensité. Avec lui, les Malgaches pourraient bien renverser la vapeur en un éclair et planter des buts assassins.
Sur le pré, pas de calcul, il faut les trois points. Une victoire, et les Barea restent dans la danse pour le Mondial 2026. Une contre-performance et ce sera le coup de massue, un retour dans les cordes qui compliquerait la qualification. Face à une Centrafrique qui joue les trouble-fêtes, il faudra presser haut, jouer vite et frapper là où ça fait mal. Chaque minute sera une bataille.

Naisa

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