Malgré son hospitalisation, le villageois blessé durant l’attaque de sa maison à Ambohimanambola, quartier d’Ambohipeno, vendredi soir, a succombé sur son lit d’hôpital hier matin.
Les médecins ont fait de leur mieux pour maintenir ce père de famille en vie, mais les coups de barre à pince qu’il a reçus, en particulier au niveau du crâne, étaient tellement violents qu’il a fini par succomber à ses blessures.
Pour rappel, huit hommes équipés d’armes à feu et d’armes blanches, dont un cagoulé, ont attaqué la maison selon les victimes.
Les assaillants ont tiré des coups de feu pour intimider les riverains avant de forcer la porte du rez-de-chaussée et celle du premier étage.
Durant le double braquage, ils ont tabassé deux hommes, dont l’homme décédé, parce qu’ils ont refusé de coopérer. Ensuite, les malfrats se sont enfuis avec près d’un million d’ariary et quelques objets de valeur.
Dès qu’elle a appris l’attaque, la gendarmerie locale s’est rendue rapidement sur les lieux. Mais au moment où les gendarmes arrivent, les bandits ont déjà disparu.
Les premiers éléments de l’enquête révèlent que durant l’attaque, les bandits pensaient que l’une des deux familles détenait une forte somme d’argent qu’ils réclamaient. Ils n’ont pourtant retrouvé que la somme d’un million d’ariary.
ATs.
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