Depuis que certains candidats ont décidé de faire campagne, la manifestation des 10 candidats, est à la recherche d’un second souffle. D’ailleurs, les affrontements sont à présent quasi inexistants. On parle bien de 10 candidats sauf que des têtes ne sont jamais aperçues aux manifestations. Les concernés ne sont pas non plus présents sur terrain pour la campagne électorale. Et on ne parle plus ici du candidat n°11 dont aucun ne connaissait puisqu’à présent on le voit en pleine campagne.
3 candidats sont alors en lice si le reste continue de tergiverser dans les rues. Malgré cela, le calme est revenu dans la capitale contrairement aux débuts de la crise. Mais ce calme semble un petit peu trop pesant, voire inquiétant, du moins dans la capitale. Malgré la campagne électorale et la manifestation des candidats, les rues retrouvent leur ambiance habituelle, noyées dans le brouhaha sonore quotidien avec les bruits de voitures et des querelles en tous genres. A tout cela s’ajoutent également les mouvements syndicalistes qui appellent à un blocage administratif. Là encore, les avis divergent et nombreux n’y adhèrent pas.
En fait, les manifestations en tous genre n’attirent plus les citoyens. Les difficultés de la vie obligent. Malgré les divergences, nombreux choisissent de ne pas prendre parti et de laisser passer les choses. Les citoyens sont alors divisés, une partie est contre les élections, une autre avance vers les élections et une troisième partie surfe sur les vagues. Mais que se passerait-il si derrière ce calme se cachait une véritable machination. Et si un accord politique se tramait dans les coulisses et risque de laisser les partisans des deux côtés bouche bée ? Ou au contraire, si tout le monde décide de faire campagne ?
T.N