A travers le projet d’Implémentation de la primaquine à dose faible en Afrique (Imprima), le Centre national d’application des recherches pharmaceutiques (Cnarp) d’Ivandry, un établissement sous tutelle du ministère de l’Enseignement supérieur et de la recherche scientifique (Mesupres), bénéficie du soutien de l’Union européenne pour les cinq prochaines années.
« L’objectif est de mener des recherches de pointe et mettre en œuvre des stratégies novatrices pour combattre le paludisme, en étroite collaboration avec ses partenaires universitaires », a fait savoir le Cnarp et ses partenaires, hier à Ivandry.
Il a précisé que trois pays sont impliqués dans ce projet ambitieux (Burundi, le Burkiba Faso et Madagascar) avec un focus sur le Vatovavy pour la Grande île. En effet, le paludisme sévit encore de manière persistante dans cette région.
« Ce projet s’inscrit pleinement dans les objectifs du Mesupres et de l’Etat, favorisant la recherche scientifique tout en apportant une lueur d’espoir dans la lutte contre cette maladie dévastatrice », a noté le Cnarp.
Sera R.