A moins d’un mois de l’ouverture officielle de la campagne électorale, prévue le 20 novembre, un seul candidat dans la capitale brille par son absence, en la personne de Joseph Martin Andriamampionona dit Dadafara.
Pour les autres, la candidate de l’Irmar, Harilala Ramanantsoa a fait son entrée dans la précampagne hier, à travers une prière pour les élections communales hier à la Chapelle Anatirova Manjakamiadana. De leur côté, les candidats Tahina Razafinjoelina, Tojo Ravalomanana et O’Gascar Fenosoa, multiplient les opérations de charme auprès des citoyens en sillonnant les rues de la capitale. Pour sa part, le candidat Ndriana Razanamasy se fait connaître peu à peu à travers les médias.
Pendant ce temps, la Ceni et les entités veillent au grain. Dernièrement, le préfet de Police de la capitale, le Gal Angelo Ravelonarivo a fait part de la nécessité de déposer une demande d’autorisation pour tout candidat souhaitant réunir du monde durant leur descente.
« Nous avons pour mission de bien organiser les descentes sur terrain pour éviter les altercations entre les candidats et leurs partisans», avait précisé le préfet.
Du côté de la Commission électorale nationale indépendante (Ceni), «Aucun candidat ne peut appeler les électeurs à voter pour eux durant la précampagne», comme l’a indiqué le secrétaire exécutif de la Ceni, Tseheno Rakotondrasoava.
T.N