En vue de procéder à la numérisation de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique, une convention de partenariat a été signée hier à Fiadanana, entre le ministère de l’Enseignement supérieur et de la recherche scientifique (Mesupres), représenté par le professeur Elia Béatrice Assoumacou, et la société Sparkso œuvrant dans le domaine de l’informatique, représenté par son directeur général, Ghilas Benkhemou.
Selon les explications reçues, il s’agit d’un accord global entre les deux parties pour une durée de cinq ans. Dans cette convention, les informations sur chaque étudiant et les documents universitaires comme les diplômes, attestations ainsi que les relevés de notes, seront numérisés à travers un système sécurisé et non falsifiable. Il en est de même pour le système d’information des enseignants et des personnels administratifs qui n’auront accès au système qu’avec un code QR suivi d’un mot de passe.
Par ailleurs, d’autres projets suivront cette officialisation de partenariat, selon les besoins spécifiques des universités, instituts et centres de recherches qui sont sous la tutelle du Mesupres. « La numérisation est incontournable dans le contexte actuel et surtout au lendemain de la 12e édition des Assises de la transformation digitale en Afrique qui s’est tenue à Madagascar », a souligné le Mesupres.
Sera R.
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