Madagascar figure parmi les pays les plus vulnérables au changement climatique en Afrique, et se situe au cinquième rang à l’échelle mondiale.
«Etant donné la situation, il est très important de bénéficier d’un financement afin d’aider les communautés locales à protéger nos forêts et préserver la biodiversité», a souligné le directeur du BN-CCC/Redd+, Lovakanto Ravelomanana, en marge d’un atelier hier au Carlton Anosy, sous l’égide du ministère de l’Environnement et du développement durable (Medd), avec l’appui technique de l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), un partenaire accrédité du «Green climate fund (GCF)» ou Fonds vert pour le climat. Madagascar a déjà planifié sa stratégie climatique conforme aux exigences du GCF, afin de bénéficier d’un financement.
D’après les informations recueillies, le Fonds vert pour le climat a établi six critères d’investissement dans ses exigences, à savoir, les impacts en matière d’atteinte des objectifs du GCF, le potentiel de changement de paradigme, le potentiel de développement durable, les besoins des bénéficiaires en matière de financement, l’appropriation pays ainsi que l’efficacité et l’efficience.
Sera R.
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